Omaggio

Euphonium Concerto No. 4

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Philip Sparke

Omaggio

Euphonium Concerto No. 4

Philip Sparke

Omaggio

Euphonium Concerto No. 4

  • Formation Orchestre d'harmonie (Solo/Feature: Euphonium)
  • Compositeur Philip Sparke
  • Série Elite Series
  • Niveau de difficulté
    (difficile)
  • Édition Partition
  • Maison d’Édition Anglo Music
  • N ° de commande DH-AMP524-140
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Description:

  • Langue: allemand anglais français néerlandais
  • Parution: 01.12.2023
  • Genre: Concertos
  • ISMN: 9790570711130
Omaggio est une commande de Steven Mead à la fois pour célébrer son 60e anniversaire et en hommage à son père, Rex, aujourd’hui décédé. Il a créé la version pour brass band de cette pièce à Rome en 2022, accompagné par l’Italian Brass Band sous la baguette de Filippo Cangiamilla. La version pour harmonie a été créée le 6 juillet de cette même année dans le cadre de la Conférence internationale sur le tuba et l'euphonium 2022, avec accompagnement par la Banda municipal de música de Málaga, en Espagne. Le concerto se déroule en trois mouvements continus, unis par un intervalle syncopé récurrent d’une quinte. Le premier mouvement, « Fantasia », s’ouvre avec ce motif accompagnant un long monologue pour le soliste. Cette section est suivie d’un long passage de transition par l’orchestre (piano) qui est finalement rejoint par le soliste, qui ramène la musique au soliloque d’ouverture avant d’aboutir à une section centrale énergique. Celle-ci se développe jusqu’à ce que les éléments du début reviennent pour introduire le deuxième mouvement, « Ballade », qui s’articule autour d’une mélodie expressive pour le soliste, entrecoupée de cadences accompagnées. Le troisième mouvement, « The King Triumphant », rend hommage au père de Steven, Rex, son titre faisant allusion à la fois à ce nom (« Rex » signifiant « roi » en latin) ainsi qu’à son amour du chef-d’œuvre salutiste d’Eric Ball, The Kingdom Triumphant. Le final est un tour de force énergique notable pour une mélodie acrobatique en 6/8 qui est interrompue deux fois par le magnifique hymne Helmsley, que Ball emploie si efficacement dans The Kingdom Triumphant. L’œuvre s’achève sur une coda galopante.